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Diagnostic termites : une application pas toujours bien suivie - 25/05/2013

Les termites représentent toujours un risque important pour les habitations, risque qui s’est d’ailleurs accru ces dernières années. En effet, la propagation de ces insectes xylophages a gagné d’autres territoires en France en peu de temps. Ceux-ci sont connus pour se nourrir du bois et y creuser des galeries qui fragilisent ainsi les structures en bois et la solidité des habitats, notamment au niveau des charpentes. Afin de détecter leur présence et permettre la réalisation de traitements préventifs ou curatifs, toutes les constructions neuves sont désormais soumises à la mise en place de protections sur le terrain avant construction. Force est cependant de constater que cette obligation n’est pas toujours respectée, avec les risques futurs pour le bâti que cela implique, surtout dans les zones connues pour leur infestation.


La réglementation en matière de diagnostic termites
Depuis le 1er novembre 2007, tous les projets de construction doivent donc inclure la mise en place d’un équipement venant empêcher l’infestation, dans tous les départements et zones ayant fait l’objet d’un arrêté préfectoral Il s’agit avant tout d’un traitement préventif, tandis que le diagnostic termites, obligatoire dans les cas de vente, a d’abord pour objet de rechercher leur présence. Aujourd’hui, il apparaît que ces mesures de prévention ne sont pas toujours suivies, à l’exception du Grand ouest reconnu pour son importante infestation.


Les solutions de protection préconisées
Dans le cadre de cette réglementation, deux solutions sont proposées afin de limiter l’attaque des insectes xylophages. Ainsi, il peut être mis en place, au niveau de l’assise du bâti, une barrière physico-chimique ou physique. Il peut également être choisi un dispositif de construction contrôlable. Celui-ci se matérialise par une surveillance périodique dans les fondations, les sous-sols ou vides sanitaires du bâtiment. En revanche, cette dernière solution ne constitue en rien un moyen de protection, impliquant le recours à des traitements curatifs en cas d’infestation.


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